Journée internationale des sages-femmes
Elles étaient plus de 700 à battre le seul pavé parisien le 5 mai dernier, à l’occasion de la Journée internationale des sages-femmes. Mais des dizaines d’autres rassemblements se sont également tenus : Schiltigheim dans le Bas-Rhin, Lyon, ou encore, place du Capitole à Toulouse. Le slogan souvent repris par l’ensemble des participantes ? « Sages-femmes en colère, il y en a marre de la galère ».
Meilleure reconnaissance
En effet, selon une récente enquête du Collège national des sages-femmes publiée en juin 2020, plus de 40% des sages-femmes salariées, 31% de celles travaillant en libéral et 37 ,5% des enseignantes, sont victimes de burn-out. Une étude qui avait été réalisée avant la crise du coronavirus… A l’arrivée, les sages-femmes continuent ainsi à demander :
- une revalorisation de leurs salaires
- davantage d’effectifs
- une meilleure reconnaissance de leur profession.

*Source : Conseil national de l'Ordre des sages-femmes